Etudiant en 4e année d’école de commerce, Maxime a rejoint une célèbre agence immobilière new-yorkaise pour un stage d’une durée de 5 mois. Il nous en dit un peu plus sur son expérience.
Les impressions de Maxime en arrivant à New York
Comment vous êtes-vous senti dès vos premiers instant dans cette ville ?
Lorsque l’on vient d’une petite ville française et que l’on débarque pour un stage à New York, un temps d’adaptation s’avère nécessaire avant de partir à la découverte de la « ville qui ne dort jamais ». Tout, là-bas, est plus grand, la vie est rythmée par le travail (surtout à Manhattan !) et l’environnent général peut vite s’avérer déroutant.
Quel aspect de la culture Américaine vous a marqué le plus (et pourquoi) ?
L’attitude des gens quand ils communiquent avec vous est très différente par rapport à la France. Les américains sont beaucoup plus « théâtraux » dans leur façon de parler et très démonstratifs dans leur communication (beaucoup de gestes…).
Le quotidien américain
Pouvez-vous nous raconter votre première journée à l’entreprise ou une journée type ?
Journée type :
- 9h30 : Arrivée au bureau
- 12h-14h30 : La grosse différence par rapport à la France, les américains ne mangent pas à heure fixe mais quand leur travail leur permet. En fonction des tâches que je devais accomplir dans la journée, cela déterminait l’heure à laquelle je mangeais et le temps de pause que je pouvais m’octroyer.
- 18h-20h (voir plus) : En fonction de la charge de travail que je devais accomplir, je pouvais quitter le bureau plus tôt ou relativement tard.
Travailler aux États-Unis nécessite quelques ajustements et de se débarrasser de certaines habitudes bien françaises
Avez-vous une anecdote à partager avec nous ?
A chaque fois qu’une vente était réalisée par l’un des agents d’Elegran Real Estate, toute la boite s’arrêtait de travailler quelques temps pour célébrer la nouvelle.
Les démarches de Maxime pour partir et ses conseils
Quels conseils donneriez-vous aux futurs stagiaires partant aux Etats-Unis ?
Surtout ne pas hésiter à faire preuve d’autonomie dans son travail et d’aller « beyond the work requested ». Les américains préfèrent les initiatives personnelles aux questions incessantes sur comment faire le travail.
Qu’avez-vous pensé de VISA J1 et de son accompagnement dans vos démarches ?
Rien à redire, l’entreprise tout comme le sponsor ont été parfaits.
Et l’avenir alors ?
Comment ce stage à New York vous a aidé ou va vous aider dans votre carrière professionnelle ?
Il s’agissait de ma première expérience professionnelle à l’étranger ce qui est toujours valorisant sur un CV.
Quelles sont vos projets après ce stage à New York ?
Terminer mes études et obtenir mon diplôme.